Nom : Kayla Hoffman-Rogers
Lieu : Halifax, Nouvelle-Écosse
Occupation/Bénévolat Rôle/Éducation/Contexte : Je suis actuellement étudiante et j'obtiendrai en mai un baccalauréat en sciences avec spécialisation en neurosciences. Je suis présidente de CANFAR Dalhousie. Je m'intéresse vraiment aux soins de santé.
Quand vous êtes-vous engagé dans la lutte contre le VIH et le sida ?
Il y a 3 ans, j'aimerais pouvoir dire plus tôt
Pourquoi soutenez-vous la recherche sur le VIH et le sida ?
Je soutiens la recherche sur le VIH et le sida parce qu'il s'agit d'un problème très important dans le monde d'aujourd'hui. Le VIH est relativement récent, le premier cas est apparu au début des années 80, mais le virus a réussi à avoir un impact négatif sur la majorité du monde. Cette opportunité me permet de collecter des fonds pour une cause importante et d'éduquer les gens.
Que faites-vous pour nous aider à nous rapprocher d'un avenir sans sida ?
La collecte de fonds pour la recherche est très importante, mais l'éducation du public, en particulier des jeunes, l'est tout autant. Beaucoup de gens ne savent pas comment le virus se transmet et ne connaissent pas les moyens simples de prévenir la propagation de l'infection. Je pense vraiment que l'éducation est une étape cruciale pour obtenir des changements à long terme.
Qu'espérez-vous obtenir en soutenant la recherche sur le VIH et le sida ?
J'espère vraiment qu'au cours de l'année écoulée, j'ai réussi à éduquer et à susciter l'intérêt des autres étudiants et de la communauté. Au début de l'année, notre association comptait 5 personnes, aujourd'hui nous sommes près de 25. Je pense que cela en dit long sur l'impact que nous avons sur le campus. Mon objectif principal est de collecter le plus d'argent possible et d'éduquer le plus grand nombre de personnes possible.
Quelles sont les idées fausses concernant la recherche sur le VIH et le sida ?
Beaucoup de gens croient qu'il existe un remède contre le VIH/sida, alors qu'en fait il n'y en a pas. Les médicaments actuellement disponibles peuvent augmenter l'espérance de vie et la valeur de l'individu, mais ne le guériront pas complètement. Les virus s'adaptent, les médicaments aussi, et la lutte pour un meilleur traitement est donc sans fin.
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